mercredi 17 octobre 2012

Forte hausse des exportations depuis Gaza !


(La situation à Gaza n'est pas forcément celle d'un camp de concentration.)
La légalité du blocus a été reconnue par la Commission Palmer nommée par l’ONU le 2 septembre 2011. Ce rapport affirme que le blocus maritime de Gaza est une mesure de sécurité en conformité avec le droit international. Le Hamas et les autres organisations terroristes implantées dans la bande de Gaza utilisent notamment la mer afin d’organiser le trafic d’armes. Le blocus maritime, selon ce que prévoit le droit international, permet de prévenir l’entrée de navires dans les ports contrôlés par l’ennemi (dans ce cas, il s’agit du Hamas et des autres organisations terroristes palestiniennes), ainsi que le départ de navires depuis ces ports.
Ce blocus maritime n’a aucune incidence sur la quantité de marchandises et d’aide humanitaire transférées vers la bande de Gaza. Les cargaisons destinées aux habitants de la bande de Gaza transitent quotidiennement par le biais des points de passage terrestres. En fait, depuis 1967, aucune marchandise n’est parvenue à la bande de Gaza par voie maritime. Par conséquent, le blocus imposé depuis janvier 2009 n’a aucunement affecté la manière et la fréquence de transfert de marchandises vers la bande de Gaza.
L’armée israélienne, et particulièrement l’unité de coordination des activités gouvernementales dans les territoires assurent quotidiennement le transfert de plusieurs milliers de tonnes de marchandises vers la bande de Gaza ainsi que le passage d’une centaine d’hommes d’affaires palestiniens de la bande de Gaza vers Israël. Par ailleurs,  des milliers de palestiniens ont été autorisés à entrer en Israël, notamment pour recevoir des soins médicaux, pour assister à des conférences et à des séminaires professionnels, pour rendre visite à des proches, ou encore à l’occasion des fêtes religieuses
Des dizaines de fermiers palestiniens et des représentants de la communauté internationale ont assisté à des conférences afin d’améliorer le processus d’exportation de marchandises depuis la bande de Gaza qui ont eu lieu dans les bureaux de l’Administration de Coordination de Liaison et aux postes frontières en novembre 2011.

(Exportateurs de la bande de Gaza) 
176 projets économiques et sociaux dans la bande de Gaza ont été approuvés, dont 70 sont déjà en cours de réalisation et de nombreux autres déjà achevés. Ainsi, au cours du trimestre dernier, 1918 nouveaux logements ont été construits. La modernisation de six hôpitaux et la construction de sept cliniques supplémentaires a débuté. Enfin, la construction ou la rénovation de 57 écoles et crèches est en cours.
Plusieurs projets visent à résoudre des problèmes d’infrastructure ont également été approuvés : 27 concernent le traitement des eaux usées, 18 projets portent sur la construction de serres et de chambres froides pour fruits et légumes afin de favoriser l’agriculture. Au cours de cette année, les Palestiniens de Gaza ont exporté 399 tonnes de fraises,  6.5 tonnes de tomates cerises et 6 tonnes de poivrons vers les marchés européens. Les prévisions pour l’an prochain montrent une nette augmentation.
Le transfert de matériaux de construction aux usines du secteur privé dans la bande de Gaza a également repris, en coordination avec Israël et la communauté internationale. La première livraison de matériaux et d’équipements à dix usines du secteur privé a eu lieu le 15 novembre dernier.
En moyenne, 4497 camions transportant des marchandises sont entrés chaque mois dans la bande de Gaza au cours des neuf derniers mois. D’autre part, les meubles et les produits textiles produits dans la bande de Gaza vont être exportés vers les pays du monde entier.
L’État d’Israël a augmenté la quantité d’eau qu’il transfère chaque mois vers la bande de Gaza et a fourni des équipements dans le but d’améliorer la production d’électricité à Gaza.
La communauté internationale rejette l’idée selon laquelle le blocus est illégal et considère que les marchandises et l’aide humanitaire sont efficacement transférées vers la population civile de la bande de Gaza.

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